MARDI, 26 MARS 2013 19:56
Lorsqu'au téléphone je lui ai demandé de m'expliquer son comportement, il m'a répondu: "Tu manques de respect au Chef d l'État. Je pourrais te faire arrêter. Surtout ne crois pas que c'est par faiblesse que je te laisse en liberté..."
L'autorité ainsi exercée est une autorité illégale et illégitime: n'est-ce pas de cela qu'il souffre aujourd'hui?
Morale: l'arbitraire ne peut pas diriger un pays. Aucun autre système ne vaut l'État de droit. J'espère donc qu'à sa sortie que je demande solennellement au pouvoir qu'il a servi, nous pourrons travailler ensemble sereinement à l'avènement de l'État de droit au Togo.
En fraternité,
Kofi Yamgnane
Hmmmmm!!!! Monsieur Bojona n’a point pensé qu’il serait dans une telle situation aujourd’hui. Au Ghana, on dit souvent que: « Quand tu manges la main d’un chimpanzé, il faut penser à la tienne. » Même si on doit pardonné, on ne doit pas tout oublier. Je suis sûr qu’il ne va jamais regretter d’avoir travaillé pour le pouvoir “des Eyadema
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